mercredi 12 février 2014

VALERIE TRIERWEILER : QUEL SOUCI POUR SES TROIS GARçONS ?



Il y a trois ans j’ai assisté au tourment de mes deux petits-fils, alors 13 et 11 ans, consécutif au départ inopiné de leur père. Parti pour construire un nouveau bonheur avec une collègue. Depuis, leur traumatisme perdure, l’aîné refuse tout contact avec son père.
Face à ce drame je songe inévitablement aux trois garçons qui ont vu partir leur mère. Pour bâtir, elle aussi, un nouveau bonheur. Cas sans doute encore plus douloureux. A en juger d’après les informations qui filtrent jusqu’au commun des mortels, notre Valérie ex-nationale n’avait pas installé ses trois garçons dans son nouveau foyer. Je déduis, à tort ou à raison, que l’essentiel de la permanence devait être assurée par le père abandonné. Il y a plus grave, me semble-t-il. Nombre de commentateurs avaient relevé le comportement  indécent de la toute nouvelle Première dame, ses entorses au protocole mais, à ma connaissance, sans jamais s’interroger sur l’effet de telles attitudes sur ses fils. Imaginons  le cas de figure : les trois garçons Trierweiler en train de regarder en compagnie de leur père les résultats des élections présidentielles. Ils découvrent leur mère qui, telle une midinette, organise une valse en amoureux, se bécote avec le nouveau président ! Se souciait-elle de ses garçons et, accessoirement, de leur père ? Non, sans doute, pas. Préoccupée par son ego, dévorée par la jalousie, obnubilée par le besoin de marquer sa possession, la Première dame fraîchement émoulue semble oublier et sa position et son âge et, surtout, ses responsabilités de mère. Le jour de l’investiture voici qu’elle récidive, exige que son homme,  en l’occurrence le nouveau président, l’embrasse sur la bouche. Face à Ségolène Royal mais, par toile interposée, face à ses trois garçons aussi.
La déchéance entraîna de nouvelles indécences. Peines d’amour, orgueil blessé, etc.  furent étalés au grand jour. On les commenta en long et en large. Pour ma part, je pense encore à ses fils, oubliés par cette pléthore de commentateurs. Comment ces adolescents ont-ils vécu les états d’âme de leur mère si parfaitement préoccupée par elle-même ? Comment ont-ils affronté le regard de leurs camarades ? Eux qui, à cet âge ont tant besoin de ce soutien sécurisant que procure l’affection maternelle ?
Après un repos à la Lanterne, notre Valérie ex-nationale ne cherche pas le réconfort auprès de ses fils, n’éprouve pas le besoin de mettre à profit sa liberté retrouvée pour compenser ses longues absences. Non ! A la veille des vacances scolaires, elle quitte à nouveau ses fils pour noyer son chagrin  sous le soleil de l’île Maurice, pour panser ses plaies dans le luxe des installations  bien adaptées aux exigences de vacanciers riches. Et l’inévitable, le prévisible se produisit : les photos de l’ex Première dame en bikini circulent. Sans surprise, elles bouleversent le cadet de ses fils qui s’attaque aux paparazzi responsables de ces prises de vue.
Et si le modèle convoité avait opté pour la compagnie de ses trois garçons dans les brumes parisiennes…

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