A la suite des projections publiques à Tende et à La Brigue, le documentaire réalisé par Gilbert Bianchi (55 min.) Pérégrinations d'Emilia Masson à travers les cimes et les abîmes du Mont Bego sera projeté à Menton dans le cadre des Grandes Conférences de Menton.
Le vendredi,19 décembre à 15h30, salle Saint-Exupéry, 8, rue de la République.
La projection sera suivie d'un débat avec Emilia Masson qui portera sur trois thèmes principaux :
Etat de recherches sur le site protohistorique du Mont Bego.
Est-il symptomatique d'une recherche en état de crise?
Quel respect pour notre patrimoine?
A cette occasion on pourra acquérir le DVD du documentaire ainsi que les publications d'Emilia Masson consacrées au site du Mont Bego.
mercredi 10 décembre 2008
samedi 19 avril 2008
La DRAC Aix-en-Provence aurait-elle des raisons que la raison ne connait pas ?
Voici déjà cinq ans que je commets des découvertes dans la Vallée des Merveilles, plus exactement flanc est de la Cime des lacs, en contre-bas de la faille-grotte dont les ornements ont été vandalisés à trois reprises (1996-2002). "Commets" me semble le terme approprié car ces découvertes qui dévoilent un pan insoupçonné de ce site protohistorique ne sont pas perçues comme telles par ceux qui ont la charge officielle de veiller sur notre patrimoine. Pire! Elles contrarient, sont accueillies, me semble-t-il, comme un crime de lèse-majesté.
Voici déjà plusieurs années que M. le Maire de Tende, propriaitaire sur le plan administratif, de ce précieux patrimoine lance des appels praissants à la Direction Régionale des Affaires Culturelles, Aix-en-Provence, de venir expértiser ces découvertes sur place et… à la mairie. Car, pour plus de précaution, les objets mis au jours sont conservés à la Mairie. A ces appels M. Xavier Delestre, conservateur régional, fait la sourde oreille et oppose un immobilisme à toute épreuve.
En attendant que ces représentants de la Culture viennent se prononcer sur le caractère des découvertes en question, M. le Maire de Tende, instruit par des expériences fâcheuses, me demande de ne pas préciser dans mes Rapports de prospection les lieux de leur mise au jour! Qu'à celà ne tienne! Voici que pour avoir respecté les consignes du Maire, la DRAC, sous la plume de M. Xavier Delestre, me refuse l'autorisation de prospection pour 2008 ! Jugeant inacceptables, "la confidencialité", "l'absence de localisation et de description archéologique des vestiges observés" donbt je fais preuve dans mon rapport…
Voici qui se passe de commentaires mais qui explique néanmoins la "marche arrière de notre recherche"!
Voici déjà plusieurs années que M. le Maire de Tende, propriaitaire sur le plan administratif, de ce précieux patrimoine lance des appels praissants à la Direction Régionale des Affaires Culturelles, Aix-en-Provence, de venir expértiser ces découvertes sur place et… à la mairie. Car, pour plus de précaution, les objets mis au jours sont conservés à la Mairie. A ces appels M. Xavier Delestre, conservateur régional, fait la sourde oreille et oppose un immobilisme à toute épreuve.
En attendant que ces représentants de la Culture viennent se prononcer sur le caractère des découvertes en question, M. le Maire de Tende, instruit par des expériences fâcheuses, me demande de ne pas préciser dans mes Rapports de prospection les lieux de leur mise au jour! Qu'à celà ne tienne! Voici que pour avoir respecté les consignes du Maire, la DRAC, sous la plume de M. Xavier Delestre, me refuse l'autorisation de prospection pour 2008 ! Jugeant inacceptables, "la confidencialité", "l'absence de localisation et de description archéologique des vestiges observés" donbt je fais preuve dans mon rapport…
Voici qui se passe de commentaires mais qui explique néanmoins la "marche arrière de notre recherche"!
samedi 5 avril 2008
France-Justice
A la demande de M. Denis SEZNEC lors de l'assemblée générale de l'Assocuiation France-Justice qui se tiendra à Paris le 12 avril à 15 heures à la Mairie du IXe arrondissement, j'évoquerai brièvement Loïc Le Ribault, son parcours, ses recherches ainsi que les circonstaces étranges de son décès, survenu à l'hôpital de Dinard dans la nuit du 6 à 7 juin 2007.
Libellés :
le de l'Association France-Justice qui
dimanche 27 janvier 2008
LOIC LE RIBAULT, dernier acte d'une tragédie de vie
Essayons d’imaginer le mirage que produisent merveilles et miracles qui se mirent dans un même miroir… Tous ces termes se rattachent au verbe latin mirari « s’étonner » et traduisent au départ une même notion de base. Mais les connotations fusent dans tous les sens et notre miroir projettera nécessairement des reflets aux nuances multiples.
Pour les petits, il s’agit plutôt de merveilles. « Alice aux pays des Merveilles » n’a-t-elle pas bercé avec bonheur plus d’une génération de bambins ?
Mais si le lapin blanc d’Alice continue à entraîner ces enfants de jadis dans des terriers moins abstraits c’est alors une dure réalité qui risque de se substituer aux aventures merveilleuses. Ce fut mon cas lorsque je m’avançais dans des terriers de la région de Dinard, ceux où Loïc Le Ribault a rendu son dernier soupir. Rendu ce soupir dans des circonstances qui rejoignent au propre le sens du verbe latin mirari. Où le sordide atteint souvent un degré qui dépasse l’imaginaire.
Une fresque tragique que ma plume tâche de reconstituer avec minutie dans le dernier fascicule de L’ERE NOUVELLE (n° 182, janvier-février).
Pour les petits, il s’agit plutôt de merveilles. « Alice aux pays des Merveilles » n’a-t-elle pas bercé avec bonheur plus d’une génération de bambins ?
Mais si le lapin blanc d’Alice continue à entraîner ces enfants de jadis dans des terriers moins abstraits c’est alors une dure réalité qui risque de se substituer aux aventures merveilleuses. Ce fut mon cas lorsque je m’avançais dans des terriers de la région de Dinard, ceux où Loïc Le Ribault a rendu son dernier soupir. Rendu ce soupir dans des circonstances qui rejoignent au propre le sens du verbe latin mirari. Où le sordide atteint souvent un degré qui dépasse l’imaginaire.
Une fresque tragique que ma plume tâche de reconstituer avec minutie dans le dernier fascicule de L’ERE NOUVELLE (n° 182, janvier-février).
vendredi 25 janvier 2008
AMENDE HONORABLE … AUX EDULCORANTS
Suite au procès qui a eu lieu les 22, 23 et 24 octobre dernier, la 31e chambre du Tribunal correctionnel de Paris a condamné Henry de Lumley uniquement pour l’une des cinq signatures qu’ils avait apposées en tant que Directeur du Muséum national d’histoire naturelle sur des documents d’attribution de marché public. Pour cette unique signature qui n’a pas pu échapper à la justice, notre paléontologue de renom a été condamné à une amende avec sursit de 8.000 euros. Quid des quatre autre ? Auraient-elles été touillées aux ingrédients édulcorants dont la recette nous échappe ?
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